La psychothérapie à partir des principes
de la Physique Quantique
Un changement de paradigme majeur
avec le modèle POEM
Le paradigme actuel : L’enjeu théorique
Comment envisager le traitement du psychisme et restaurer ses liens avec le corps tant que nous ne savons pas ce qui les relie ?
Les liens corps esprit établis par les neuro sciences sont incontournables bien qu’empiriques : La mise au jour de l’activité cérébrale ne donne ni la définition, ni la structure, ni le fonctionnement du psychisme. Les corrélations organes malades/évènements historiques sont empiriques et spéculatives : Elles ne disent rien sur la manière de traiter le patient si ce n’est que de souligner l’importance de la prise de conscience. Or, le sens donné à un symptôme est spéculatif, subjectif et singulier.
L’enjeu pratique :
En traitant le psychisme on espère améliorer la santé. En travaillant sur le corps on espère améliorer le moral. Dans un sens ou dans l’autre, cet espoir tient davantage du vœu pieux que d’une démarche construite dont le résultat serait prévisible et durable. Le sens donné (la cause supposée) c’est une forme de diagnostic. Ce n’est pas le traitement !
Qu’est-ce que le nouveau paradigme POEM ?
Pour trouver la cohérence conceptuelle et concrète des liens corps esprit (des approches médicales et psychologiques), j’ai dû m’extraire de la perspective « psy » classique, en associant la biologie et la physique quantique aux approches psycho dynamiques et comportementales traditionnelles.
Le nouveau paradigme :
- De l’empirique au conceptuel
- Du causal au quantique
- Du pourquoi à « l’effondrement » du champ
- De l’égo à l’ontologique
Quelles compétences en plus ?
- Un autre diagnostic corps/psychisme
- Le traitement distinct des champs selon leur fonction biologique
- L’émergence de l’être
Témoignage :
…Pour mon premier atelier « PSYCHODR’HOM », wouah, quel résultat !
Durant la nuit, j’ai revu, comme si c’était un film, beaucoup d’événements violents qui s’étaient passés avec mon père ou ma mère. J’étais juste spectatrice. Je n’avais pas d’émotion particulière, pas de colère, pas de peur, ni de rancœur ou autre, ni de sensations physiques désagréables ou de tension. Juste je regardais. Je voyais la rage, la haine, la violence, la peur, la honte, la culpabilité à l’œuvre à l’intérieur d’eux mais cela ne m’atteignait pas. Je voyais que tout cela ne m’était pas destiné, mais qu’ils projetaient sur moi leur part d’ombre…Je voyais aussi leur souffrance et combien ils étaient coupés d’eux-mêmes. Alors que moi pendant que je les regardais, je me sentais unifiée, reliée à mon être profond. Les gestes, leurs mots, tout cela n’avait plus d’emprise sur moi… Au niveau de mes sensations, ce qui est le plus prégnant pour moi, c’est de ne pas avoir de ressenti négatif à l’égard de mon corps, alors que jusqu’à cet atelier je lui vouais une haine viscérale.
C’est très nouveau…, mais surtout cela ne me « bouffe » plus d’énergie. merci de m’avoir permis de réaliser ce travail et de la bienveillance chaleureuse.
Chantal, le 11 mai 2015
En pratique
Apports théoriques et pratiques, exercices, démonstrations, thérapie didactique. Vous serez guidés dans l’apprentissage de la méthode et des procédures d’interventions en travaillant les uns avec les autres. Inscription et renseignements auprès de Francis Bussat
Tarif : 600 €
Hébergement et pension : env 260 €
Début de stage : le 24 Aout à 18h (Accueil à partir de 17h)
Fin de stage : le 28 après le déjeuner
Lieu : CENTRE D’ACCUEIL POUR LE DEVELOPPEMENT ET LES ECHANGES (CADE) – 340 La Basse Maure 83780 FLAYOSC entre Lorgues et Salerne – TGV Les Arcs Draguignan
Tél. : 04 94 73 71 41
Site internet : www.cade-seminaire.fr – mail : centre.cade@nordnet.fr
en savoir plus
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QUANT’HOM Institut 17 avenue du Clos 13650 Meyrargues |
Tél : 06 10 76 13 54
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